24/09/2010

Le Tunisien: Quand il paye Facebook


Le tunisien, certes je parle de celui qui c'est fait déjà une place dans le monde virtuel, celui où les contraintes "VISA, moyens, aptitudes et besoins" ont peu d'influence. Là où on peu si facilement fausser compagnie à qui que ce soit. Se trouve désormais obligé à voltiger à basse altitude, ou ramer tout doucement sans faire de vagues, pour passer inaperçus aux radars de contrôle, l'œil qui voit tout, l'œil qui contrôle tout, l'oiseau au bec tranchant qui survole nos têtes, délimitant les bords et les rebords de ce petit bassin que ATI baptise internet. 

Pour un nombre acceptable de fournisseur d'accès, et avec 3,6 millions d’utilisateurs internet pour 10,5 millions d’habitants, la Tunisie occupe la 1ere place parmi 57 pays africains, et la 6ème place parmi 17 pays arabes de la région Moyen-Orient – Afrique du Nord. Mais la majorité des internautes tunisiens convergent tous et en même temps vers facebook, puisque (404 Not Found; The requested URL www.o_O'.com was not found on this server), ne s'affiche pas. Ce qui m'alarme ce n'est pas la présence massive de tunisiens sur facebook, mais plutôt l'image, qu'ils sont entrain de graver sur la roche, de transmettre au monde entier. Je vous invite tous et sans exception à parcourir les pages tunisiennes et groupes facebook, et comparer le nombre d'adhérent de ces pages, tout en les classant; pages intéressantes point de vue informations et contenue, et pages qui ne servent quasiment à rien.
Certains, y ont trouvé un créneau pour faire de la pub, d'autres pour grouper leurs semblables et bannir ceux qui ne partagent pas leurs idées, d'autres juste pour le phénomène de mode "je suis sur facebook". Mais si par censure, on génère un cyber-entonnoir qui mène automatiquement à facebook, il sera le nouveau berceau du régionalisme, de l'appel à la haine, des rumeurs destructrices et un très bon entraineur de la décadence des jeunes.  une palissade qui renfermera tout ça, finira un jour ou l'autre par imploser, après avoir crée comme in effet de dépendance, chez cette masse en ébullition.

                Comme l'étaient d'autres sites auparavant, aujourd'hui c'est facebook le site le plus populaire en Tunisie, voir même le site le plus visité. Que l'on veuille ou non, c'est une image de référence du tunisien qu'il est entrain de réfléchir, une image que nous sommes entrain retoucher et d'affiner les détailles. Est quand le tunisien, chaque début de mois, passe par les bureaux de poste pour payer la facture de téléphone y compris les droits de connexion à internet, c'est en fait les droit d'accès à facebook qu'il est entrain de payer, et je le conseille de cotiser, puisque le jour où ce dernier subira le même sort que ses prédécesseurs, la cure de désintox lui coûtera les yeux de la tête. Est-ce ça le prix de la censure ?
         
                              
               

10/09/2010

Le Tunisien: Lassitude et le terminal de la vie





       Certains définissent la vie comme un voyage qu’on est obligé de faire, parfois dans des chemins tout tracées qu’on décrit de destin et souvent nos choix aboutissent à des finalités plus ou moins appréciés. Bien que généralement, l’être humain ait la manie d’attribuer tout ce qui est propice à ses choix, quant au pire, c’est à sa destinée qu’il octroi. Et en fuyant le destin, on se retrouve tous un jour ou un autre dans le terminal de ce grand aéroport de la vie, vers d’autres cieux, d’autres rivages trimbalant nos souvenirs qui sont nos derniers bagages.

       Pour changer ou juste par envie de changer, pour une nouvelle vie ou pour un nouveau mode de vie, Des fuyards, lâches et vaincus ou de vaillants déserteurs de cette grande arène qui est la vie. Ou tout simplement épuisés, on est tous épuisés de quelque chose, de défendre une idée, un point de vue, une réalité ou in idéal à réaliser. Épuisés d’essayer de comprendre et de faire comprendre aux autres ce qu’est la vie, un voyage, un combat ou un passage obligatoire d’un monde à un autre. Pour certains la vie se résume dans ses plus simples décors, les besoins naturels qu’on essaye à tout prix de satisfaire, au détriment de nos sentiments, nos valeurs et nos idéaux. Des idéaux qui deviennent de plus en plus rare, de plus en plus inexistant dans cette jungle que l’homme est entrain de bâtir. La majorité fini par passer inaperçus, gâcher toute une vie et rater de multiples occasions de marquer son passage dans l’histoire, par manque de persévérance ou manque de convictions ou tout simplement par lassitude, la tendance de la nouvelle ère.

Bien que l’esprit de critique, chez ceux qui le possèdent bien évidement, est comme la mort ; une maladie incurable qu’on attrape à la naissance. Donc tous ceux qu’on retrouve au terminal, ne se rendent pas compte que fuir un problème ou un incompris ou le faite d’être incompris, c’est vers une autre bataille qu’ils se dirigent. Reste à vérifier, qu’avons-nous fait dans la précédente. Combien de chantier inachevé avons-nous laissé derrière sois, combien ceux qu’on a laissés assoiffés de connaitre le chemin de la vérité. Au moins on aurait dû leurs apprendre à déchiffrer le peu de vrai dans cette vague de désinformation, la goute douce de cet océan salé. Ceux-là finirons par ne plus avoir confiance en qui que ce soit, entraînés par le courant, et au bout de l’entonnoir c’est le fond de la bouteille qui les accueillera. Donc il ne faut pas être choqué d’avoir étés abandonné par les siens ou incompris dans la nouvelle bataille qu’on va un jour ou l’autre mener.


        Avant de prendre ce vole, pensez à laisser votre lassitude au terminal de l’aéroport, profitez de cette escale pour mener la bataille primordiale, affrontez l’ennemi de toute épopée, mettez le hors d’état de nuire, gagnez le combat contre l’abandon. Apprenez nous à ne pas abandonner, pour comprendre ce qu’est la vie. Un terme que je n’ai pas eus la certitude de définir, voulez vous le considérer comme un combat ou un voyage, allez vous persister ou encore une fois fuir ?
Pour une fois, j’ai envie de vous dire « on n’est pas comme ça », mais je suis incapable de mettre ma main au feu, c’est cette réalité qu’on doit tous essayer de changer, pour pouvoir un jour changer la vie ou la vision des autres sur la vraie vie.

27/08/2010

le tunisien: culture et moisson de la peur.

Cet après midi j'ai reçu de la part de l'un de mes cher amis, une photo prise d'un document officiel de la mairie de Tunis, arrondissement "d'elkabaria". Ce document contient un nouveau règlement concernant les stands de vente d'accessoires autos, qui s'installent généralement à proximité  du souk des voitures, et ce pour pouvoir proposer  des produits, généralement , a prix très abordables puisque les vendeurs ne sont pas obligés de payer une taxes aux autorités locales puisque leurs stands est a l'extérieur du souk.  Donc, la municipalité est pour des fins connues de tous, fait afficher le circulaire suivant. 



Mais le drôle dans tout ça c'est que cet arrêté propose ce qui suit:
·         L'interdiction d établir des stands en dehors du marché des voitures
·         L'interdiction du stationnement des voitures devant est sur les places et rues ayant accès ou  même vue sur le marché.
·         Les stands habituels (du marché des voitures), pourrons camper le jeudi et vendredi au marché des fruits et légumes et autres. (autres chez nous c'est produits de vaisselle les produits en plastique pour la vaisselle et le linge, le fripe… désormais voitures en fera parti.) 
Ce communiqué doit être  pris comme avertissement, avant la prise des mesures dissuasives pour tout refus d'obtempérer. 



Alors pour empêcher des habitués du marché des voitures d'établir leurs stands et satisfaire leur clientèle habituelle, on interdit l'arrêt et stationnement a proximité du marché, comme ça même les acheteur ou les visiteurs devrons arrêter leurs voitures assez loin du marché au risque d'êtres dérobés, et ce pour ne pas laisser la chances aux stands même d'êtres réduits dans des voitures. Mais la bonne nouvelle c'est que pour acheter un rétroviseur ou un autocollant décoratif pour ton auto, ou pour acheter une pièce d'occasion qui peu te couter les yeux de la tête chez le concessionnaire, tu dois te rendre le jeudi ou le vendredi matin, après avoir eu la permission de ton boss, au marché des fruits et légumes pour économiser.
Le mot d'ordre, comme là dit "Nasser e'dine ben mo5tar"

Je mange – tu manges.
Tu manges –tu manges.
Il mange – tu manges.
Nous mangeons – tu manges.
Vous mangez – tu manges.
Ils mangent – tu manges.


 
 

25/08/2010

Le tunisien: capo ou capon face à la grippe F1.R1

Parfois l'être humain, ayant conscience qu'il est blâmable et par pur sentiment de culpabilité, se comporte d'une manière assez souvent étrange. Et comme définition du comportement on peu citer "Le comportement d'un être vivant et, plus généralement, de tout autre système est la partie de son activité qui se manifeste à un observateur." C'est en résumé l'ensemble des actions et réactions d'un individu dans une situation donnée. Si par pur hasard vous êtes adeptes des chaines animalières, vous pourriez associer un animal à chaque comportement et à chacun un animal.
       Pour chaque situation, un comportement approprié, qui varie d'une extrémité à une autre, selon la personne qui elle aussi influencé par son vécu et son patrimoine culturel. La particularité chez le tunisien (musulman) c'est dans la constitution de sa personnalité il a dû subir un mélange sucré, salé, piquant, amère, acide … faisant de lui un petit schizophrénique multi-masques qu'il est seul maître à porter selon le cas. Pour simplifier, le tunisien, et dans son éducation, a dû passer par de nombreuses écoles de pensés, commençons par celle de la maman; religieusement sévère travaillant surtout sur le culte de la peur de la colère divine, puis celle du papa qui quand a lui et son fameux proverbe "faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais" et le culte de "ayez peu de moi". Puis viennent les premières années de l'école et le passage d'un enseignent à un autre où chacun essaye de laisser son emprunte sur ta mémoire, en suite les années lycée, celles des premières rebellions des premières crises de sentiment, et où on apprend à conditionner notre background émotionnel et culturel pour faire les autres se qui est l'opposé de ce qui se déroule au fond de nous. Puis à la faculté, pour ceux qui y arrivent si non le café du cartier; la seconde fac des jeunes, après avoir appris a conditionner nos comportements, reste alors a exceller dans cette matière qui est désormais le moteur de la vie ou la survie comme bon vous semblera.
Toujours sans rapport avec la grippe F1.R1. Jamais entendu parler!!? Elle n'est ni porcine ni aviaire c'est celle des F comme "fattara" R comme "romdhane" "F one Romdhane". Cette maladie anciennement connue sous le nom "je suis malade" ou encor "je suis diabétique" … et qui frappais quelques uns de nos chers concitoyens, est désormais un fléau qui ravage la population, nombreux sont ceux qui on été contaminés et la maladie se propage de plus en plus. Nombreux sont les cafés et réstos ouverts en plein jour, des vitrines couvertes de journaux, des portières-rideau à moitié ouvertes, de portes battantes entrouverte… et l'odeur des cigarettes se fait sentir a chaque coin de la rue. Ne parlons pas du bruit qu'on peut entendre à chaque passage devant ces nouveaux "sanatoriums" ou nos chers citoyens se font traiter.

Le rigolo dans cette histoire, c'est que j'ai voulus observer un peu se qui se passe depuis l'extérieur puis de l'intérieur de ces hospices. De l'extérieur tu peu voir que chaque patient, et avant d'y accéder, observe bien à gauche puis à droite, et attend souvent que la rue se dégage pour entrer. D'autres, comme des rats, tout en baissant la tête, entrent en vitesse au risque de se cogner contre le rideau métallique… ces deux spécimens sont les plus délicats face aux sentiments de ceux qui font le carême. Bien d'autre se comportent comme des porcs, nonchalants des autres et par simple anticonformisme affichent bien leurs joies et bon humeur et surtout le tonus, après avoir bu le café de 10 heure, le repas de midi et le petit remontant de je ne sais quelles heure. Une vue furtive de l'intérieur m'a permis de constater surtout l'immense nuage de fumé qui t'empêche même de bien voir ton voisin ou lire l'horoscope du journal quotidien, ajoutons à cela le bruit parfois assourdissant d'une foule, qui à besoin du double voir le triple de l'espace occupé…
Dire que tout se beau monde est malade !? Dans un article qui à apparu sur internet, on a mentionné ceci " En Tunisie, le Ramadan fait l’objet d’une quasi-unanimité. La population tunisienne se soumet, en majorité, au jeûne, ce troisième pilier de l’Islam. Par conviction ou par anticonformisme, certains transgressent cette règle religieuse…" les "certains" sont de plus en plus nombreux d'une année à une autre, même les religieux; les "Hadj" patrons de cafés ouvrent le matin pour voir doubler leur chiffre d'affaire voir quadrupler pour d'autres. Les piliers de notre religion sont entrain de s'amollir l'un après l'autre, un jour "la prière" un autre "l’aumône", aujourd'hui "le jeûné de ramadan" et demain!!? Le pèlerinage de la Mecque!!!? A quand alors "la profession de foi"!!!? 
       Cette maladie qui ronge bien des cœurs, est entrain de nous inculquer les nouveaux cultes de son école de pensé "ce n'est plus à la mode". Tu a le choix, ou être un "capo" et imposer tes règles à toi et défendre ton identité, ou bien être un "capon" et t'incliner face à cette vague de modernisation aux origines toujours inconnues mais aux fins claires.
Sommes-nous tous atteint de ce virus, la modernité déguisé? Certes le tunisien est moderne et vie le modernisme culturel qui s'ouvre sur l'extérieur, mais le modernisme déguisé, désolé on n'est pas comme ça. "a7na manèch hakka".

24/08/2010

Le tunisien: audaces, libertés ou crises d'identités !?

Mon père disait, l'innovation chez nous c'est transformer le vieux pour faire du neuf. Pour en suite l'user et en abuser de lui, afin d'en refaire le vieux truc d'autrefois, ou presque. Oh nous les tunisiens, pas tous quand-même, mais la majorité qui sans le vouloir ou sans en être consciente, est entrain de transformer petit à petit quelques normes et valeurs de la société. Nos valeurs, celles du tunisien, le vrai. Cette fois pas pour les rajeunir ou les relancer à la mode, mais pour élire sur le trône de identité les nouvelles valeurs, la nouvelle marque de fabrique "Made in Tunisia".
La plus part d'entre vous, à remarqué la nouvelle vague d'audace que nos journalistes, cinéastes, acteurs et artistes etc. … essaye de défendre et pousser vers l'avant de la scène, en espérant que ça apprendra à la masse, à bien voire les choses, savoir juger, apprendre à critiquer, concevoir et prendre position … tout en oubliant les mauvaises habitudes de la communication interhumaine, qui elles aussi sont étrangères au tunisien, pouvant êtres d'origines berbères mais n'a jamais été un barbare.
Soyons d'accord que la barbarie est bien un concept, auquel on peut attribuer plusieurs définitions. Le concept de barbarie a une connotation péjorative, qui peut traduire à la fois le mépris pour l’autre, l’étranger, ainsi que la crainte qu’il inspire. Cependant, pour Thucydide, il possède aussi un sens technique : celui des valeurs locales opposées aux valeurs supposées universelles du civilisé, par exemple l'intérêt du clan avant la justice générale. Comme ça quant on traitera quelqu'un de barbare ça sera soit a cause de sont comportement en lui-même soit a cause des finalités ou des objectifs cachés derrière des comportements n'ayants pas l'aire d'être barbares.
Bref, revenons a nos moutons, et ça me fait un peu rire de dire moutons car j'ai envie de punir le berger pour les dégâts causé par ses protégés mais contentons-nous de dénoncer les petits fougueux. Citons comme exemple la nouvelle chanson du rappeur tunisien "Balti" de son dernier album "journal" et la piste "veni vidi vici" version remix qui, selon le chanteur, et dans une interview accordé à "mosaique fm", n'est qu'une réponse  aux injures qu'il est entrain de subir sur les pages fans et celles anti-balti sur le résau social facebook. Le pire dans tout ça, c'est que cette piste comporte trop de gros mots, d'un style pas du tout étrange aux propos injurieux de notre quotidien malencontreusement,  et avec une mauvaise traduction, de la langue arabe vers la langue française. Jusqu'ici tout va bien mais la catastrophe, est que cette version remix soit sortie officiellement sur le CD que la société Phonie vient de produire pour cet (artiste). Je vous laisse le soin de relier cela, aux nombreuses définitions qu'on peu attribuer au concept de barbarie.
Le problème, est que ce chanteur ne fait pas l'exception, ni qu'il innove dans cette décadence, puisque nombreux sont qui l'ont précédés, officiellement comme les rappeurs undergrounds, et non officiellement comme d'autres chanteurs dans des soirées privés que les vidéos sur youtube et dailymotion sont toujours prêtent à en témoigner. L'exemple de Balti n'est pas le seul, rien à que regarder les nouvelles tendances dans la publicité, les nouveaux feuilletons tunisiens, les propos de plusieurs présentateurs télé etc. … Laisse a supposer que: "à la recherche de la liberté et dans l'audace de réclamer cette liberté, le tunisien a fait tomber l'héritage et les valeurs à transmettre, le voilà ainsi face à une crise d'identité, laissant son esprit attaché aux rêve Américain, la vie qu'il aurait eu si l'occasion     se présente pour quitter son quartier vers le (paradis) européen, ou tout simplement regarder "casting" et dire "pourquoi pas moi". Mais je ne cesserais jamais de vous dire ,on n'est pas comme ça, "a7na, manèch hakka".

23/08/2010

Le Tunisien: avec trop de pub, ils nous prennent pour des … ?


Si le XXe siècle mérite une mention spéciale, c’est bien dans le domaine de la fabrication d’images destinées à orienter les croyances et les comportements, notamment politiques. La publicité, aujourd’hui, est le laboratoire de ces recherches. Leur moteur est toujours le désir de faire partie d’un groupe. Certaines fois, la publicité joue directement sur ce désir. D’autres fois, au contraire, elle dérange et malmène ses spectateurs qui pour vaincre ce dérangement, n’ont que deux solutions : soit parler de cette publicité et augmenter alors son impact, soit acheter le produit, façon de se rassurer sur le caractère de leur émotion et de se rattacher au groupe de tous ceux qui consomment le même produit après avoir éprouvé le même malaise.
Plus le spectateur d’une image est malmené par elle, plus il est tenté d’emprunter le chemin qui est indiqué dans cette image pour résoudre son malaise. La publicité nous permet ainsi de comprendre ce qu’est une image violente : c’est une image qui ne nous pousse pas à penser, mais à agir, et cette définition concerne les images verbales, parlées ou écrites, autant que les images visuelles. Pour lutter contre cet effet des images, il nous faut d’abord réaliser que ce n’est pas notre conviction intellectuelle, mais notre adhésion émotive et corporelle aux images qui est le vrai danger.1

Quand a l'industrie de la publicité, A-t-on pris assez conscience du rôle paradoxal que l’on fait jouer à l’opinion, Objet d’un immémorial mépris, avec les mêmes certitudes qu’un Machiavel convaincu de l’éternelle bêtise du peuple et de la nécessité de le manipuler, voir même faire de nous des produits de l’« industrie du mensonge ».
Cette vidéo, résume un peu, les secrets de cette industrie dans le monde. (Cas de la France), pour enfin voir un peu en chiffres la pub en Tunisie au mois de ramadan.




La pub, ils nous prennent pour des cons !!? from zutshu l'indep on Vimeo.



Le mois du Ramadan en Tunisie n’est plus uniquement celui de l’excès en matière de consommation. A l’image de sa table de rupture du jeûne  (Iftar), le Tunisien consomme aussi énormément de publicité. Gardant encore les vieux réflexes d’une économie peu encline à la communication et à la publicité, annonceurs et agences de communication concentrent toutes leurs actions de publicité sur le mois du Ramadan et contribuent ainsi à la surconsommation au cours de «ce mois saint ».
En 4 journées de jeûne, le téléspectateur tunisien aura été obligé de regarder  1698 spots publicitaires  et d’attendre ainsi   45865 secondes durant,  la reprise du spectacle, du feuilleton ou du film que les 3 chaînes essentielles, TV7, Hannibal TV et Nessma TV, lui offrent en appât. Le volume, en secondes, de la publicité servie aux spectateurs tunisiens est même allé crescendo de jour en jour, passant de 322 spots (9340 secondes) au cours du premier jour du Ramadan, à 493 spots (12775 secondes) pour le 4ème jour.
Nouveau venu sur la place des TV tunisiennes, Nessma des  frères Karoui et Tarak Ben Ammar aura quand même réussi à glaner 500 spots de Pub en 4 jours, juste derrière TV7 (562 spots) et Hannibal d’El Arbi Nassra (575 spots), selon les chiffres de Sigma.

Après le mixage de ces informations; le pouvoir de l'image, l'intensité voir même le matraquage qu'on est entrain de subir, avec le postulat déjà citée qu'ils sont convaincu de l’éternelle bêtise du peuple. Sont-ils entrain de nous transformer en chiens de Pavlov, ou tout simplement entrain de nous prendre pour des "con". Mais je ne cesse jamais de le dire, on n'est pas comme ça. A7na manèch hakka.



1: Serge Tisseron; Psychiatre et psychanalyste, enseignant en psychopathologie à l’Université de Paris VII (Censier), chargé d’une recherche sur " les effets des images chez les enfants et les adolescents " par le Ministère de la Culture, la Direction de l’action sanitaire et sociale, le CSA, et le CNC.

20/08/2010

Le tunisien: tolérance, "culture" de régionalisme et la naissance du petit "3mirat"


Pour donner un bon goût a son potage, il faut laisser mijoter à petit feux, et ce, pour que chaque ingrédient puisse dégager toute ça saveur, et que la mélancolie de ces différents goûts fait de ton bouillon, une expérience inoubliable au pays du culinaire magique.  Et c'est ce que j'ai choisi de faire, laisser la majorité voter, pour pouvoir en fin trancher. Vers qui la balance va-t-elle en fin basculer ? Mais ce qui est drôle, c'est que la marchandise pesé, entreposé et surtout objet de polémique entre membres de la famille, est tellement pourri que la seule option qui te passe par la tête, c'est: direction poubelle.
Bref,  la nouveauté de la première semaine de ramadan, une activité anti X, une autre anti Y, un petit group anti Z. Pire encore, des "journalistes" anti G, des vagues de boycott … et ça ne fini pas de "antiller" de partout.

Une tendance facebook très à la mode: ça ne me plait pas, j'invite tous mes amis à signaler, le problème est résolu. Résultat: pages supprimées, comptes blockés… comme si "3mmar" ne suffisait pas, choisissons le petit "3mirat" pour censurer ce qui ne nous plais pas à nous aussi. Tel berger tel meute, tout les utilisateurs de facebook, ont constatés la vague "Anti-nessma TV", "Anti-mouna nour e'dine" "Anti-nsibti l'a3ziza" … que je cite comme exemples qui en cache bien d'autres, et qui a causé la fermeture de la page de Nessma TV  qui compte plus de trente miles fans. Et ce, à cause d'un feuilleton qui présente, selon les commanditaires de cette nouvelle forme de censure, une critique caricaturiste un peu trop pour le goût des sfaxiens.
Comme définition de caricature j'ai trouvé ca " la caricature c'est un genre littéraire de dessin humoristique qui charge certains traits de caractère souvent drôles, ridicules ou déplaisants dans la représentation d'un sujet. Dans le cas d'un portrait-charge, le caricaturiste rendra plus importants certains traits du visage selon ce qu'il cherche à montrer. Mais sa caricature ne dépréciera pas son sujet pour autant, de manière obligatoire, car elle voudra mettre avant tout l'être et son contexte en avant, ce qui peut se révéler soudain comme un avantage, lorsque la charge est évidente".
Chose qui n'a pas été bien saisie, vue la vitesse avec laquelle des groupes ont été formé, des photos publiés, des vidéos traités et diffusés sur tout internet en un temps record. Mais le vrai problème ce n'est pas ça, ce n'est pas le fait de se réunir autour d'une idée et la soutenir jusqu'au bout. Le problème c'est l'idée de cultiver le sentiment de haine pour aboutir à un tel résultat, technique trop souvent utilisé par les juifs et leur fameuse "shoah" qui sert de bouclier ou tourne-l'oeuil sur quelque chose d'autre. C'est cela qui fait honte, une question qui s'auto-pose, détestons nous les sfaxiens, les djerbiens, les tunisois, les bizertins… la liste est longue je vous assure.
Dans le titre de cet article j'ai choisis de mettre entre guillemets le mot "culture", pour mettre l'accent sur cette tendance spécifique de ses dernières décennies. Le régionalisme fait-il partie de notre culture, ou nous sommes entrain de cultiver le régionalisme. Le fait de  se réunir après avoir emporté la coupe d'Afrique des nations, et dés la reprise du championnat locale, revenir aux slogans d'incitation à la haine entre supporters… qu'en est la cause de ce fléau, la première étincelle, le fait que je soutiens les gens de ma région seulement suis-je entrain de haïr les autre ou de pousser les autres a nous haïr.
Somme-nous entrain de construire le pont reliant régionalisme et sentiment de haine, et pourquoi toute cette haine. Allons-nous attendre que le Tunisie emporte la coupe du monde des nations pour former un seul peuple, et pour combien de temps ? Est-ce que la caricature que nous sommes entrain de dessiner pour notre pays, et surtout de déballer devant le monde est plus pire encore que se qui se cache au fond de nous. J'ai peur que le prochain arrêt où le peuple tunisien reformera une seule et unique entité sera malheureusement la troisième guerre mondiale qui n'épargnera aucun pays, là nous serons obligés de nous réunir autour de nos couleurs, voir on est un peu plus de dix millions de tunisiens dans le monde, rien à voir avec le milliard et demi de la chine. Mais je ne cesserais jamais de vous dire ,on n'est pas comme ça, "a7na manèch hakka".

       




18/08/2010

Le tunisien: Plagiat, simple crise de créativité ou pire encore ?





C'est fou comme de nos jour tout est imitation. Vous pouvez me croire sur parole, puisque je fais le tour de tous les souks à bas prix de la capitale au moins un jour par semaine, Parfois par simple flânerie et souvent à la recherche de la perle rare; pourquoi pas la lampe d'Aladin.  Le fait que je trouve la majorité des produits proposés, variant de la plus pire imitation à celle qui semble tenir pour au moins un mois d'utilisation, ne me choque pas. Puisque il nous est plus facile d'importer ou de copier, plus ou mois fidèlement, un produit, que de transférer la technologie nécessaire à sa fabrication, plus encore à avoir l'idée de concevoir un tel bien.

Donc le vrai problème ce n'est pas dans la fabrication elle-même  ou la commercialisation, mais dans la conception. Pourtant j'ai fait parti un jour de l'une des écoles supérieures de Tunis, où on ne cessait jamais de nous inculquer, les ficelles de la création ou l'art de la chasse aux idées. Tout était bien évidement purement théorique, mais quand même, c'était le bout du chemin, est a nous de poursuivre hors heurs de cour et surtout hors examen. Je garde le souvenir des  4ième années marketing, des amis à moi, ont eus pour projet de réaliser des spots publicitaire pour les deux operateurs téléphonique sur le marché à cette époque. Ils ont formés des groups de huit, faisant ainsi six groups en tout. Le projet était annoncé, délai de livraison un mois.

Ce qui m'a vraiment fait plaisir, la date des visionnages étant venue, c'est que j'ai eu l'occasion de participer à l'élaboration de quelque idées, vue je n'étais pas dans la même filaire qu'eux, mais les 4ième années était tous dans la même galère d’où plus que de l'amitié nous réunissait. Bref revenons, j'ais due répondre à des tas de questions, remplir de tas de formulaire que j'ai crue que c'était leurs notes de PFE mise en jeu. Mais le plus grand plaisir que j'ai eu, c'est que  sur les six pubs diffusés, l'innovation était de six sur six, tout en respectant les chartes graphiques de chaque opérateur, le timing, la qualité … etc.   C'était un plaisir.

Mais qui fait mal dans cette histoire, c'est que après quatre voir cinq années, après avoir quitté l'établissement, personne mais personnes des membres des six équipes n'a décroché un poste dans une boite de pub, ni même un magazine, rien. La majorité à fini par se sentir à l'aise au font d'une chaise d'un centre d'appels, d'autres des poste dans des PME avec un CDD renouvelé pour la 4ième fois, d'autres ont essayé, tout comme moi de se lancer dans leurs  projets, mais qui, pour la majorité, on patauge entre les requins.

Revenons à l'essentiel, après avoir visionné, revisionné la pub de " Délice mamzouj " sur ça m'a rappelé une pub, que jusqu'ici toujours présente sur les chaines française, celle du fromage blanc "caprice des dieu", le même concept; un couple d'amoureux qui déguste "le produit"  et tout autour d'eux s'arrête, les baigneurs arrêtent de faire du bruit, les parents font taire les enfant, le bateau s'arête, même le parachutiste essaye de taire son cri avant de tomber à l'eau…  . Pour, notre (très cher) " Délice mamzouj " est C'est ce que nous montre la nouvelle pub Délice mamzouj tournée dans le centre ville de Tunis, un couple s'apprête à manger un yaourth "Délice mamzouj", tout s'arrête. Les gens, le métro, enfin bref aucun bruit ne doit venir gâcher ce moment de pur plaisir. 
 

retrouver ce média sur www.ina.fr











La question pour laquelle je cherche une réponse, est que je ne trouve que de questions supplémentaires, c'est : pour quoi est-on comme ça !? 

·            Est-ce dû a un défaut de formation? Ou plutôt celui d'un faut recrutement!?

·            si c'est un seul mauvais recrutement, a quel niveau de l'hiérarchie ? 

·            La pub à été validé!! Voir "Délice" n'est pas une si petite entreprise

·            Sommes-nous aujourd'hui les chefs à mettre l'homme qu'il faut à la place où il ne faut pas?

·            Pourquoi le "mérite" n'est qu'une marque de cigarettes qui se vends au pris cher?

Est-ce que à force de nous laisser aller, allons-nous perdre la ou les capacités à cogiter, veulent-ils tuer tout esprit de création, même rêver n'est plus si facile qu'avant. Entres mes années passé en tant qu'étudiant rêveur et ceux d'aujourd'hui, des journées en tant que dur travailleur, la création est toujours en hibernation, mais je sais reconnaitre le plagiat en flagrant délit. Mais gardons toujours espoir, on n'est pas comme ça "a7na manèch hakka".

un petit coucou à : Mramdhen 2.0
qui m'a devancé pour écrire sur cette pub.  

17/08/2010

Le tunisien: "7chicha" ou les sept pêchés capitaux ?

  C'est fou comme au mois de ramadan, on peu avoir un tel degrés de concentration, pour déceler et déchiffrer des comportements humain de plus en plus dissimulés par la nouvelle vague d'individualisme qui vient engloutir ce qui reste d'une solidarité de moins en moins présente. Et par le sentiment de manque (7chicha),  "le tunisien" a du mal à  garder en place son masque et ses gants, et on n'a qu'a se servir et jouer à "qui a plus de pêchés que qui"  un jeu plus ou moins drôle du fait que chez une seule personne, s'accumule deux, trois voir cinq ou six pêchés.
La liste actuelle, que j'ai emprunté pour formuler mes pensés,  a été citée par Thomas d'Aquin dans sa  Somme théologique (question 84, Prima secundae) au XIIIe siècle. Il y mentionne que certains d'entre eux ne sont pas en eux-mêmes à proprement parler des péchés, mais plutôt des vices, c'est-à-dire des tendances à commettre certains péchés. Et" le vice" ou les vices, comme bon vous semble, est le virus qui frappe le tunisien et fait de lui ce qu'il est.
   
Et on déclenche l'avalanche et ça commence par la place d'honneur… (Imaginez un peu des roulements de tambours) et c'est…" la paresse"… (Des acclamations), la Paresse, anciennement l'acédie (Acedia en latin). Le catéchisme de l'Église catholique définit l'acédie, terme disparu du langage courant, comme « une forme de dépression due au relâchement de l'ascèse ». Il s'agit en effet de paresse morale. L'acédie, c'est un mal de l'âme qui s'exprime par l'ennui, l'éloignement de la prière, de la pénitence, de la lecture spirituelle. Son démon est Belphégor . "Le tunisien" est un peu belphegorifié dés la naissance, l'été parce qu'il fait chaud, l'hiver c'est le froid, le printemps c'est à cause des allergies, l'automne c'est par le manque de verdure et au mois de ramadan c'est le manque de sommeil due à la soirée d'hier et avant-hier, le cumul de fatigue, le manque de nicotine et caféine… bref, nous aimons ne rien faire à part regarder la télé ou les gens parfois, ou bien fixer l'horloge et décompter le temps qui reste avant la rupture du jeûne. Et juste après la "chorba" il emporte sa "brika" et direction le café pour la "chicha" deux douzaines de cigarettes et une demi douzaine de tour de rami, "chkobba" etc.
En seconde place, j'ai l'immense plaisir de vous annoncer Mme "La gourmandise", la gourmandise (Gula en latin), ce n'est pas tant la gourmandise au sens moderne qui est blâmable que la gloutonnerie, cette dernière impliquant davantage l'idée de démesure et d'aveuglement que le mot gourmandise. Par ailleurs, on constate que dans d'autres langues ce péché n'est pas désigné par un mot signifiant « gourmandise » (gluttony en anglais). Son démon est Belzébuth, et "le tunisien" est si belzébuthé, que cela peu être décelé dans la façon dont il fait ses achats, cinq types de pains, deux à trois formes différentes, cinq fruit et cinq légumes un kilo de chaque, et en dressant la table trois types de salades, deux "chorba" deux variété de "brik" deux ou trois sauces différentes sans oublier un plat qui se mange à la cuillère, le plat de résistance qui généralement doit être un couscous ou des pâtes avec le fameux "3alouche", sans parlers des douceurs de la soirée, les gâteaux, les jus… (n'wedkom w la n'chahikom), pour en fin goûter un peu et le reste pourrira au font du réfrigérateur et finira dans les poubelles. Dire qu'au mois de ramadan on mange une fois par jour au lieu de trois, on dépense trois fois plus et plus encore.  
En troisième position de cette soirée des oscars, je ne sais pas si avec honneur ou pas, mais je vous présente Mme "la colère", la colère (Ira en latin), c'est une courte folie déjà pour les Anciens, entraînant parfois des actes regrettables. Son démon est Satan. "Le tunisien", et spécialement au mois ramadan, le mois de la rédemption, le pardon et toutes les bonnes actions, je le trouve particulièrement coléreux, pour un rien, mais rien, un rien de chez rien, une place de parking, dans le métro, le bus (el car e'ssafra), l'embouteillage de la ville, la foule devant le marchand des produits laitier traditionnel (l'a7lèybi) pour l'achat d'un litre de "l'bann" ou simplement du fromage blanc, la file d'attente devant le guichet de la poste pour retirer de l'argent, ou en envoyer au fils maudit qui a choisis la fac la plus éloigné de chez lui juste pour couper le cordon avec les parents un peu trop présent et les embêter par la même occasion. Combinons cela avec les deux premiers pêchés et c'est la guerre civile. Imaginez tant de combinaisons que vous pouvez et c'est toujours sans issue.
Et pourquoi c'est souvent sans issue !!? C'est due tout simplement a Mme "l'orgueil", l’orgueil (Superbia en latin) c'est l'attribution à ses propres mérites de qualités vues comme des dons de Dieu (intelligence, etc.). Son démon est Lucifer.  Je ne peux pas affirmer que c'est une bonne chose ou bien au contraire un défaut à éradiquer, mais simplement on le trouve là où il ne faut pas, "le tunisien" ne lâche jamais, mais alors là jamais, prise. Même si il ne comprend pas de quoi parlent les autres, il n'est même pas certain de l'information qu'il s'acharne à faire adopter… sa tourne souvent au ridicule, et c'est dû au manque de civisme ou au manque de communication. Parler souvent a voix haute pour défendre une idée, c'est donc le ténor qui impose sa volonté et sort gagnant dans les débats.
Reste, en cinquième position, l’avarice (Avaritia en latin) qui n'est en fait que l'accumulation des richesses recherchée pour soi-même. Son démon est Mammon, suivie de l’envie (Invidia en latin) qui est la tristesse ressentie face à la possession par autrui d'un bien, et la volonté de se l'approprier par tout moyen et à tout prix (à ne pas confondre avec la jalousie). Son démon est Léviathan en sixième position. Ces deux là travaillent par paire, donc si on a l'un forcement on est atteint de l'autre. Mais je ne peux pas juger un tel pêché parce que tout être humain essaye de les cacher au fond de lui, et sont déchiffré a partir d'un recoupement de différents comportements vis-à-vis d'une personne ou un groupe de personnes par rapport aux autres.
Et en fin la luxure (Luxuria en latin) qui n'est en fait que le plaisir sexuel recherché pour soi-même. Ce péché est appelé impureté dans le catéchisme de l'Église catholique. Son démon est Asmodée. Je n'ai pas le droit de parler de ce pêché ci puisque la vie privé de tout être humain, ne concerne personne, vu que ce pêché n'influence pas le comportement social d'un être humain vis-à-vis du group l'entourant.
Bien que, en tant que bon croyant, je sais très bien qu'en ce mois ci, l'unique en son genre, dieu nous offre une grande faveur, la fermeture de toutes les portes de l'enfer, l'ouverture de toutes les portes du paradis et surtout touts les diables sont enchainés et n'ont aucun pouvoir d'influence sur l'Homme. Où sont donc nos "sept vertus cardinaux" : la chasteté, la tempérance, la prodigalité, la charité, la modestie, le courage et l'humilité (Il ne faut pas confondre humilité et haine de soi ou simplement humilité et Le mot humiliation) l'essentiel dans la plupart des religions à la recherche de la sainteté et de la cohésion sociale. Cependant, ces vertus ne correspondent pas exactement à l'inverse des sept péchés capitaux, mais tout au long des onze mois restant de l'année, "ibliss" a sue nous entrainer et nous conditionner a êtres ce que nous sommes. Mais je ne cesse de répéter "on n'est pas comme ça" (a7na mouch/manèche hakka).